Ca fait quelques années que je connais le principe de la clé USB tueuse : une clé faite en réalité de condensateurs et autres bidules électroniques dont le seul but est de détruire le terminal qui y serait connecté.
Le principe est simple : une fois branchée sur un ordinateur (ou un smartphone1, avec les version récentes), la clé se charge en électricité lentement pour ensuite produire des décharges fatales aux composants de la machine hôte.
Élucubration d’un paranoïaque de la sécurité ?
Pas vraiment, il y a eu plusieurs cas :
- Un étudiant d’une école d’ingénieur de Laval (France) a détruit 88 ordinateurs, pour un préjudice de 250 000 euros2, pour s’amuser (pour « l’adrénaline ») ;
- En 2019, un étudiant américain bousille 66 ordinateurs (59 PC et 7 Mac)3 pour 60 000 $ de préjudice.
Ah, les miracles de la miniaturisation !…